Lejour où je me suis aimé pour de vrai Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle l’Estime de soi. Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
Lejour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai compris qu'en toutes circonstances, j'étais à la bonne place, au bon endroit. Et, alors, j'ai pu me relaxer. Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle Estime de soi. - Une citation de Charlie Chaplin . Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai compris qu'en toutes circonstances, j'étais à la bonne place, au bon endroit. Et, alors, j'ai
Lejour où je me suis aimé pour de vrai. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelleL’ESTIME DE SOI. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient
7Uo0vrR. Nombre de visites 2438Je suis tombée sous le charme de ce texte attribué à Charly l’aurait écrit à l’occasion de son 70ieme anniversaire, le 16 avril, 1959. J’ai fini par découvrir que l’auteur de ce magnifique texte le jour ou je me suis aimée » est Madame Kim McMillen, femme écrivain du Colorado,engagée dans un chemin de développement personnel. Elle est morte en septembre 1996 à l’age de 52 ans. Le texte original en anglais est paru sous le titre de When I loved myself enough » Le texte est d’une simplicité si fascinante mais d’une vérité si profonde qu’il vous transperce. Je me suis retrouvée totalement en phase avec avec ce texte. En effet, lorsqu’on s’aime réellement soi-même, on obtient le sésame pour aimer son prochain, donner le meilleur de soi aux autres sans rien attendre et en retour, on est heureux. La Parole de Dieu ne nous enseigne t-elle pas qu’il faut aimer Dieu en premier puis son prochain comme »soi-même ». On découvre dans ce texte que s’aimer ne signifie pas s’enfermer dans un égoîsme et un égocentrisme obscurs. S’aimer réellement signifie avoir de l’estime pour soi, donner de l’amour aux autres sans forcer leur amour, en toute humilité, dans le plus grand respect. C’est comme une autre notion d’harmonie avec soi-même et avec les autres. Je vous laisse découvrir le texte. Excellente journée, Machelle Le jour où je me suis aimée pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. et, alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle… Estime de soi Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal quand je vais contre mes convictions. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… Authenticité Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… Mâturité Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne dans le seul but d’obtenir ce que je veux en sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment…… Aujourd’hui je sais que ça s’appelle… Respect Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire …personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… Amour Propre Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plaît et à mon rythme. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… Simplicité Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui j’ai découvert … l’Humilité Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et ça s’appelle… Plénitude Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient un allié très précieux Tout ceci est…. SAVOIR VIVRE ! Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter… … Du chaos naissent les étoiles.
Simone de Beauvoir a dit "On ne naît pas femme, on le devient". Ce poème de Charlie Chaplin nous dit "On ne naît pas humain, on le devient". Bon voyage Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et, alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Estime de soi. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle, n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Authenticité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Maturité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment. Aujourd'hui, je sais que ça s’appelle Respect. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Amour Propre. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans , j’ai abandonné les mégaprojets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plait et à mon rythme. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Simplicité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui, j’ai découvert l' Humilité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s’appelle Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir , mais si je la mets au service de mon cœur, elle devient un allié très précieux. Charlie Chaplin
0 Flares 0 Flares × Ecrit à l’origine par Kim Mc Millen, c’est Charlie Chaplin qui aurait récité ce poème lors de son 70ème anniversaire, le 16 avril 1959. Je grave aujourd’hui ce poème dans mon blog, parce que qu’il me parle énormément et résume si simplement la façon dont notre mélodie intérieure doit nous guider tout au long de notre vie. Quelques mots et une merveilleuse leçon de vie… Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment, Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Estime de soi. Le jour où je suis me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Authenticité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Maturité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment… Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… le Respect. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… l’Amour propre. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime quand cela me plait et à mon rythme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Simplicité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui, j’ai découvert… l’Humilité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre dans le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et cela s’appelle… la Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon cœur, elle devient une alliée très précieuse ! Tout ceci, c’est… le Savoir vivre. Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter…. Du chaos naissent les étoiles. Aujourd’hui je sais que ça s’appelle… La Vie! Et vous, qu’est ce que ce poème vous évoque ? Est ce qu’il trouve résonance en vous ?
Le Docteur Serge Marquis, l’auteur canadien préféré des Français, spécialiste de la santé au travail et auteur du best-seller On est foutu, on pense trop ! », sort un nouveau livre Le jour où je me suis aimé pour de vrai », un roman qui soigne l’égo. C’est à la demande de ses patients et de ses nombreux lecteurs que Serge Marquis a décidé d’aller plus loin sur la question de l’égo en publiant ce premier roman. Un livre dans lequel il nous donne une magnifique leçon de vie que l’on pourrait résumer en quelques mots pas d’ego, pas de problèmes. Pas d’ego, pas de souffrances Passionnée par ses recherches sur le cancer du cerveau, Maryse s’accroche à son identité d’éminente neuropédiatre et à son désir éperdu de reconnaissance. Mais voilà que Charlot, ce fils singulier, cet enfant qui l’émerveille et l’exaspère à la fois, la plonge dans des questionnements inconfortables, la pousse dans ses derniers retranchements. C’est que Charlot, neuf ans, est confronté à des questions philosophiques et existentielles étonnantes Quel sens donner à sa vie lorsqu’on est atteint d’une maladie incurable ? Comment résister à l’intimidation, la bêtise, la peur de l’autre ? Et surtout, qu’est ce que l’ego, cette chose dont tout le monde semble souffrir ? Pour l’accompagner dans cette quête, la mal-nommée Maryse du Bonheur, sa mère, devra se délester de son autosatisfaction, se dépouiller de ses certitudes et apprendre à s’aimer pour de vrai ». La genèse de l’ouvrage Le jour où je me suis aimé pour de vrai Tout est parti d’une histoire qui m’avait été racontée par un ami. Un moine bouddhiste donne une conférence. Lors de la pause, un spectateur trouve le moine, qui est pourtant un maître », en train de sangloter. Le spectateur est étonné et lui demande – Que vous arrive-t-il ? Il répond – Comment pourrais-je leur expliquer quelque chose d’aussi simple pas d’ego, pas de problèmes. Pas d’ego, pas de souffrances. Quand j’ai entendu cette anecdote, je me suis dit elle est là , la clé ! C’est cela qu’il faut explorer comprendre d’où vient l’ego, comment il se structure. Parce qu’il est sûrement à l’origine d’une grande partie de la souffrance inutile qu’on inflige à soi-même et aux autres. Quand on est dans les bouchons par exemple, et qu’on insulte les autres conducteurs – Oh l’imbécile ! » Ou quand on se triture l’esprit – pourquoi est-ce toujours à moi que cela arrive ? Qu’est-ce que j’ai fait ? » Il y a des souffrances évitables. Alors, j’ai creusé la question de l’ego. J’ai écrit On est foutu, on pense trop. Mais, après la publication, j’ai reçu beaucoup de messages, de lettres où de nombreuses interrogations persistaient. Je me suis dit, il faut aller plus loin. Et c’est à ce moment-là , que j’ai décidé d’écrire un roman Le jour où je me suis aimé pour de vrai. » Serge Marquis Extrait Le jour où je me suis aimé pour de vrai Je me présente Maryse du Bonheur. Ce nom de famille m’a évidemment valu des tas de moqueries au cours de ma vie, des blagues de mauvais goût du genre Une chance que tu n’aies pas été prénommée Reine, Rose ou Aimée. » On me dit souvent que ce nom ne peut pas vraiment exister. Que je l’ai inventé pour me rendre intéressante ; pour me donner une chance d’y croire, je veux dire au bonheur. Pourtant, ce nom provient du Nord de la France. Une toute petite bande de terre située le long de la frontière belge. Et je suis une authentique du Bonheur », je vous assure. Nous sommes peu à porter ce nom, en fait nous sommes en voie de disparition. Il n’y a aucune nouvelle branche à l’arbre de la famille. Charlot en sera peut être le dernier fruit. Je suis médecin-neurologue – neuropédiatre, pour être plus précise –, sur-spécialisée en traitement du cancer. […] Je rêvais d’être vue et entendue. Par toutes et par tous. Et partout. Je voulais devenir le plus grand médecin de ma spécialité. J’avais le goût de servir » les enfants malades, bien sûr, mais, au-delà de tout le reste, j’aimais que cela se sache. Il y a eu interruption du rêve, explosion en vol de mes fantasmes avec l’arrivée de Charlot dans mon ventre. Une arrivée pourtant désirée, attendue ; un enfant issu de l’amour avec un clown, un vrai clown. Le nez, les sifflets, les ballons et toute la quincaillerie qui provoque les éclats de rires ; avec lui, j’ai pensé que j’allais rire le reste de ma vie. Mais il m’a fait la plus grande farce qu’un clown puisse faire il a disparu. Il s’est évaporé avant que le bébé ne vienne au monde. Mon corps ne faisait plus l’affaire, surtout le ventre. Je me suis retrouvée seule avec Charlot. Et la garderie, et l’école, et la carrière. Une histoire ordinaire. Tellement ordinaire… Et puis Charlot s’est mis à m’interroger… Il m’a fait voir tout ce que mon besoin d’être supérieure m’empêchait de reconnaître et de vivre. […] Quand j’ai enfin réalisé que j’étais incapable de lui répondre correctement, mes certitudes ont craqué. La grande Maryse du Bonheur a commencé à rétrécir. » Le jour où je me suis aimé pour de vrai, Serge Marquis – La Martinière €
Un texte d’Alison Mc Milen que j’apprécie particulièrement. Il parle de nos blessures, de leur guérison et de la façon de vivre dans le respect de soi et des ses valeurs. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Estime de soi. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Authenticité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Maturité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment… Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… le Respect. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… l’Amour propre. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime quand cela me plait et à mon rythme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Simplicité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui, j’ai découvert … l’Humilité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et cela s’appelle… la Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon cœur, elle devient une alliée très précieuse ! Tout ceci, c’est… le Savoir vivre.
le jour où je me suis aimé pour de vrai